J’ai pu éviter d’absorber des crasses et aider mon corps à se battre,

Suivie depuis des années par le Dr Gengoux ,…je suis enchantée par son écoute qui je sais est bien présente tout en pianotant sur son ordi afin de noter sentiments et/ ou mots clé lui permettant d’être la plus éclairée possible pour trouver le remède salvateur. Je sais que dans cette optique (intelligence) homéopathique j’ai pu durant des décennies éviter d’absorber des crasses ,et aider mon corps à se battre,…voire de se renforcer. Brigitte de Becker

Une lueur d’espoir, de nouvelles perspectives

Un livre qui ouvre des portes sur des alternatives en médecine traditionnelle qui la plupart du temps peine à soigner les problèmes dermatologiques profonds. Une lueur d’espoir, de nouvelles perspectives, une manière aussi de mieux se comprendre. Ana Postigo

Je me suis sentie renaître.

En novembre 2019, on m’a diagnostiqué un Pityriasis Rubra Pilaire.

J’ai passé 9 jours à l’hôpital Erasme, avec traitement au Néotigason (désastreux pour le foie) et application de crème à la cortisone sur tout le corps.

Je suis sortie de l’hôpital dans un état pire qu’à mon arrivée! J’ai consulté alors le service de dermatologie de l’hôpital St Luc, qui a préconisé l’arrêt du Néotigason et de la crème à la cortisone, d’après eux inadaptée à mon cas..
Après 6 mois de traitement par injections d’Humira et de Skyrizi, mon état ne s’était guère amélioré, que du contraire.

Mi-juin 2020, j’ai décidé de m’orienter vers d’autres soins. J’ai vu un kinésiologue, un osthéopathe, un médecin généraliste homéopathe, un spécialiste des fleurs de Bach, tous m’ont formidablement aidée.

J’ai vu aussi le Docteur Pierrette Gengoux, qui m’a chaleureusement accueillie et écoutée pendant deux heures. Elle m’a prescrit un remède homéopathique. Un mois plus tard, mi-juillet, je me suis sentie renaître.

Je suis infiniment reconnaissante au Docteur Gengoux et à ses collègues naturopathes et homéopathes qui m’ont permis de sortir de la maladie, en essayant de comprendre son origine et son sens.

Le Dr Gengoux m’a aidée à mettre des mots de plus en plus précis sur mon ressenti

Témoignage : ce que m’a apporté le traitement en homéopathie, sur le plan de ma demande initiale et peut-être sur le plan plus général :
Je suis suivie depuis une trentaine d’années par un médecin traitant qui soigne quasi exclusivement par homéopathie, et je suis rarement malade. Mais lorsque j’ai débarqué chez lui il y a quatre ans, couverte de boutons sur les bras, les jambes, le dos – des dizaines de pustules rappelant la varicelle – il a préféré m’orienter vers un dermatologue, vu mon état spectaculaire et quelque peu déroutant.

J’en ai vu plusieurs, posant des diagnostics différents, probables mais pas certains, se rejoignant cependant tous sur le remède : la cortisone. Malgré les démangeaisons à la limite du supportable, « effacer » mon symptôme de cette façon ne me paraissait pas adapté. Peut-être parce que ma manière de me soigner depuis longtemps en envisageant mon corps et mon être dans leur globalité me poussait à chercher un sens à ce symptôme, qui surgissait juste après le décès de ma mère, qui suivait de près le décès de mon père. Je sentais que quelque chose se passait à l’intérieur de moi, quelque chose « bouillonnait », cherchait une porte de sortie, et je ne voulais pas empêcher le processus à coup de cortisone…

C’est ainsi que je me suis tournée vers le Dr Gengoux, dermatologue homéopathe. Pour elle, il s’agissait d’une grosse poussée d’eczéma atopique. Ce diagnostic me parlait : enfant, j’avais beaucoup souffert d’asthme, et je savais qu’il existait un lien entre le « terrain » asthmatique et le « terrain » eczémateux ; d’ailleurs, à l’âge adulte, si l’asthme s’est atténué et a fini par disparaître, j’ai développé un eczéma au niveau des pieds.
Le Dr Gengoux m’a aidée à mettre des mots de plus en plus précis sur mon ressenti. Je me sentais tantôt comme un volcan en éruption, tantôt comme un chêne, robuste mais isolé, épuisé par une saison de production intensive de glands, fragilisé et tentant péniblement de rester en équilibre et bien enraciné. J’avais tenu la pression tant bien que mal pendant des mois et des années « parce qu’il le fallait », et tout d’un coup « ça » lâchait ; ou alors je m’autorisais enfin à me relâcher, et je m’effondrais d’épuisement…

C’est le deuxième remède prescrit qui a fait mouche. Après chaque prise, survenait un rêve marquant dont je me souvenais, et que je vivais comme libérateur, et qui me donnait confiance, qui me confortait dans le chemin choisi pour me guérir et retrouver mon équilibre. La crise aigüe d’eczéma atopique s’est atténuée par vagues successives jusqu’à disparaître complètement. L’eczéma sur les pieds, que je traîne depuis 30 ans, n’a pas totalement disparu, mais il évolue lentement dans le bon sens… Je sens que le remède homéopathique accompagne et soutient mon corps (et mon être tout entier) dans son travail naturel de rééquilibrage.

lorsque je me vois dans le miroir

Juste pour vous dire que lorsque je me vois dans le miroir chaque matin et que je retrouve mon visage sans la maladie ( rosace acnéique ), j’éprouve une joie légère qui me fait du bien. J’éprouve alors le même sentiment de gratitude pour la qualité de votre travail que j’applaudis des 2 mains. Sans avoir dû prendre d’antibiotiques délétères ou lasers bien coûteux, j’ai eu bien raison de prendre le traitement homéo choisi avec toute votre belle et généreuse expérience.